J12 – Lundi 27 juillet – Hoï An
5h00. Arrivée à l’heure à Da Nang. Il fait encore nuit. Nous avons quand même réussi à dormir 5 heures environ, entrecoupées de réveils brutaux. Un « Durian café » allégé dans une échoppe de la gare routière et un taxi se propose de nous amener à Hoï An.
Da Nang semble un immense chantier. Nous découvrons deux superbes édifices, aux courbes ultramodernes. Le soleil se lève. Sur notre droite les montagnes de marbre.
Arrivée à Hoï An. Rien de particulier n’accroche l’œil, sinon une ville proche du sol avec des maisons d’un étage au maximum. Le goudron disparaît peu à peu, la latérite reprend droit de cité, mais les rues sont propres.
Super. Notre chambre est disponible. Cath a choisi le An Phu, un hôtel 3 étoiles, donc « moyen » selon le barème du routard. 40 US$ la family room, si Delphine lit notre blog avant son arrivée ici … Elle donne sur la piscine de l’hôtel. On sent que cela va le faire.
6h00. Nous laissons Jolhan se reposer (devant des mangas) et nous partons direction le marché de poissons.
On ne se lasse pas du spectacle des norias de barques, amenant le poisson au marché par un bras de mer. Puis nous traversons le marché tout entier et nous partons déambuler dans la ville.
Petit à petit, celle-ci se révèle à nous. Des petites maisons coloniales souvent garnies de fleurs, des temples, des boutiques vendant des costumes de soie colorés. Tout cela éclairé par le soleil rasant du petit matin et sans un touriste. Superbe.
Nous déambulons dans les rues. Nous découvrons le pont japonais, datant du 16ème siècle. La chaleur commence à monter. L’appétit aussi.
8h00. Nous atterrissons enfin au Cargo Club, une pâtisserie française. Dans un décor « époque coloniale » nous dégustons un rare « continental breakfast ». Des croissants croustillants, meilleurs que ceux de Montesson. Nous emportons un « doggy bag » pour Jolhan.
9h00. La chaleur commence à être plombante. Nous rentrons à l’hôtel. Douche, sieste. Nous sommes finalement très contents de notre programme du matin.